Fertilisation azotée : relever la teneur en protéines des blés français
ARVALIS – Institut du végétal vient d’éditer une publication de 6 pages « Teneur en protéines des blés : relever le double défi agronomique et économique ». Destiné aux producteurs et aux techniciens, ce document synthétise les principaux acquis techniques pour allier rendement et protéines.
Avec le renforcement des exigences sur les marchés intérieur et export, le taux de protéines devient un enjeu majeur pour les filières blé. Quel itinéraire technique mettre en œuvre pour assurer à la fois rendement et taux de protéines élevés ? Pour répondre à cette question, ARVALIS – Institut du végétal vient de publier un document de six pages intitulé « Teneur en protéines des blés : relever le double défi agronomique et économique ».
Teneur en protéines des blés : relever le double défi agronomique et économique
Trois points clés ont un effet direct sur la teneur en protéines des grains : le choix variétal, le pilotage de la fertilisation azotée et l’apport post-épiaison. Pour renforcer la teneur en protéines, il faut en effet mettre en œuvre un ensemble de pratiques qui commence par le choix de variétés adaptées et se poursuit par une gestion optimisée de la fertilisation azotée. Dans ce cadre, le report d’azote du début de cycle vers la période épiaison-floraison offre la meilleure efficience vis-à-vis de l’enrichissement du grain en protéines.
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